23 novembre 2011

Dur, dur le trek...


Il était une fois, deux jeunes  françaises partis à la découverte du bout du monde (c'est le cas de le dire!!!)

Leur premier jour, fut l'apprentissage de la conduite d'un éléphant, facile, on leur parle, on secoue un peu les fesses et quand ils mangent du bambou on fait des HIUUU HIUUUU, plus facile que de conduire une voiture hein.

Bon par contre comme la voiture, il faut le laver l'éléphant...

Leurs plus belles baskets aux pieds les voilà fin prête à affronter la jungle...

Le guide ou plutôt coach sportif, les pris pour des athlètes de haut niveau, et ce mis à accélérer dans les petits sentiers, (à moins que ça ne soit pour aller plus vite que les serpents)...

Pas le temps d'admirer les cascades, les sangsues sont sur la place!

Sang aux jambes, transpiration au front, on continue à travers la savane...

Et puis après avoir marché on atteins la cabane de la petite maison dans la prairie...

Chiens, chats, enfants, poussins, feu, sol en terre battu, paillasse, nouveau né... Ah on s'est peut être trompé, on est dans la crèche de Noel version Cambodgienne...

17h début du repas, 18h tous au lit, enfin à la paillasse...

Lendemain difficile, pas de glace, pas d'eau, on enfile un short et s'est reparti jusqu'à ce qu'il faille traversé une rivière, peut être même un fleuve!!!

On refuse, on a pas le choix en fait c'est le seul chemin possible ou sinon il faut faire demi tour...

On fini par traverser et puis pour nous réconcilier avec la vie, on nous offre un sac de riz...
























Les transports en commun, VOLUME 1

Nos ennuis ont commencé dès Siem Reap, ou l’on devait venir nous chercher à l’hôtel à cinq heure du matin pour prendre le bus, levée quatre heure et demi, pas bien fraîche, nous attendons impatiemment, voyant défiler désespérément  les minutes… Cinq heures et quart nous nous décidons à appeler l’agence, personne ne répond, on rappel, on s’acharne rien à faire !

Six heure, on décide de prendre un tuktuk pour aller jusqu’à l’agence qui nous a vendu les tickets, on tambourine cinq minutes à la porte, on entend du bruit, on persiste et quelqu’un se décide à nous ouvrir ENFIN…
On fait un scandale (à la française), on nous cherche  dans le livre des réservations, ou l’on nous a  manifestation oublié, on leur demande de trouver une solution mais il s’acharne à trouver une réponse dans ce livre, notre impatience se fait ressentir, alors on nous passe un téléphone, il semblerai que ce soit le chauffeur de bus et que son bus est en panne, et qu’il n’a, malheureusement, pas d’autre bus dans sa compagnie, Emilie jette le téléphone sur le bureau…

Et puis on entre dans la phase menace, on  leur jure de rester toute la journée devant leur boutique afin qu’aucun touriste n’y mette les pieds… Pleins de désarrois ils  nous rendent nos 10 dollars et se cotisent même pour nous donner deux dollar de plus… On n’en veut pas, on veut un bus !

On leur demande alors de nous emmener jusqu’à la station de bus, ils hésitent mais ils n’ont pas vraiment le choix vu le regard de « tueur de petit cambodgien »  qu’Emilie leur jette. Sac à dos sur le dos, nous voilà parti à la station de bus en scooter, un bus doit prendre le départ dans quelques minutes ils achètent les tickets, et là nous demande un supplément de 5 dollars, pas moyen on leur arrache les billets des mains et on grimpe dans le bus. On aurait pu penser que l’histoire s’arrêterai là mais non, le gars remonte dans le bus et nous demande 10 dol’, cette fois c’est trop, on fait un rugissement bestial… on en entendra plus parler.



Et puis on a voulu faire un arrêt à Kompong Cham, on pensait que c’était cool, mais non ! Ça ressemble à une ville fantôme ou il n’y a qu’un temple a visité ... Malheureusement on s’est pris une amande touristique pour l’avoir regardé… Voulant absolument partir nous négocions pour avoir un bus le matin, on nous promet un mini van, et quel mini van!!! Nous voilà parti à 29 dans un van prévu pour 8, nous avons donc appris que les Cambodgiens ne voyage pas non, ils déménagent…  Ils emmènent toutes leurs marmailles avec eux grands parents compris, meubles, scooter, paquet de riz, canards, poules, tout y passe… D’enfer !








Angkor plus loin.

Et pour la petite histoire, (parce que vous adorez nos petites histoires), je vais vous parler de la tour du Bayon.
Emilie épuisée s’est mise à méditer dans cet encadrement de fenêtre que vous pouvez observer ci-dessous, je décide alors de faire le tour du temple, ce que je ne savais pas, c’est qu’il est d’une symétrie PARFAITE. Alors que je passe ou j’avais laissé Emilie, elle n’y est plus, elle s’est transformé en chinois, alors je tourne, je tourne, et je commence à m’énerver. Je décide donc de descendre voire si elle n’est pas avec le chauffeur de tukuk,,. NON.
Je m’installe alors devant le temple et montre à tous les touristes qui montent  la photo d’Emilie en leur demandant de lui dire que je suis en bas si il la croise…
Bon manifestement personne ne l’a vu, je monte, la retrouve ; lui cri dessus et elle me répond le plus calmement possible…
Je n’ai pas bougé d’un orteil.

(Et voilà après 60 jours en Asie, je me suis même pas dit ahhh si j’avais un téléphone ça aurai été plus simple…)













13 novembre 2011

Angkor plus fort.

Je vous promet qu'il est difficile, voire impossible de mettre des mots pour définir Angkor Wat... 
Mais les photos, elles, parlent d'elles mêmes...





















12 novembre 2011

Une journée à Battambang.



En France le train c'est pas drôle, il y a toujours des grèves, des retards et des changements car les rails ne peuvent pas monter les montagnes, et en plus y'a jamais de place!!! Mais au Cambodge c'est dément, imaginez vous (même si ça va être difficile) sur une construction de rondins de bamboo montez sur quatre roues propulsé à toute vitesse sur des rails pas vraiment droite... (c'est déjà géniale hein!!!) et la (la meilleure partie) un autre "wagon" vous arrive dessus, pas de soucis on démonte la construction, on laisse passez puis on reconstruit, un train Ikéa quoi!
Bon si vous n'avez rien compris, une petite vidéo vaut bien que mes mots...

Et puis nous avons participé au festival de l'eau, sans rien y comprendre nous nous sommes retrouvées a manger à quatre pattes dans une pagode avec au moins 10000000 de cambodgiens... Nous avons ensuite défilé serrer entre deux mamies dans toute la ville de Battambang avec un tuktuk magique rempli d'offrandes... Une fois que nous avions finis de nous prendre pour les reine d’Angleterre et de faire "des coucou" à tous les villageois, nous sommes retournées au temple, avons tournés trois fois autours derrière des singes danseurs puis avons offert les offrandes aux monks...
On vous a fait une sélection des offrandes les plus dingues qu'on ai on a pu trouver, un set de casseroles encore plus élaboré que les Téfals, une brosse à dent, un paquet de cigarette... Espérons que Bouddha en fasse bon usage! : ) (et là vous imaginez offrir du saucisson et de la gnôle au prêtre hein!!! :))












9 novembre 2011

Kampot

230 kil' plus loin, nous voilà à Kampot dans le Sud du Cambodge, dans une petite Guest House au bord de l'eau... Nous avons fait la connaissance de Camille, revenant d'Inde, de Malaisie, de Thaïlande, de partout on a tout de suite adoré ces sarouels alors on a décidé que ce serait notre copine... Alors le sud du Cambodge en vrai il n'y a pas tellement de chose a faire, a part admirer ces magnifiques paysages de rizières et ces splendides coucher de soleil... Ah si négocier le tuktuk et chercher un restaurant peut aussi vous occupez plusieurs heures... Et quand la nuit tombe, pour ne pas vous ennuyer pourquoi ne pas participez à un mariage Cambodgien?!?
Voilà c'est ce qu'on a fait, on a apprit a danser et a presque ressentir la musique Cambodgienne, quoi que Shakira et Lady Gaga nous ai un peu manqué à cette soirée : )... On faisait un peu ploucs aussi dans nos shorts délavés parmi toutes ces filles apprêté comme si elle allait au casting de Miss Cambodge... Mais bon nos cheveux blond font toujours sensation!
Et puis 2 bouteilles de Pepsi rempli de gazole dans notre scoot' nous voilà partis à Kep, a 25 kilomètre heure pour ne pas le remplir une deuxième fois dans le but de manger du Crabe au poivre. Ca en valait la peine, on s'en lèche encore les babines...